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ÉLECTIONS MUNICIPALES DE JOINVILLE-LE-PONT - MARS 2020
RÉPONSES DES CANDIDATS AU QUESTIONNAIRE DE L'ASEP

L'ASEP a posé les questions suivantes aux 3 candidats afin de mieux comprendre la place qu'ils accordent à la protection de l'environnement de nos quartiers dans leurs programmes.

Les réponses ont été transcrites dans l'ordre d'arrivée à l'ASEP.

Afin de recevoir les lettres d'information de l'ASEP dans le futur :  

 

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1. Vous engagez-vous à maintenir un dialogue régulier et constructif avec l’ASEP, et à nous communiquer tout document et échange de courriers concernant directement nos deux quartiers?

 Tony Renucci  La transparence et la démocratie participative font partie des fondements de notre projet. Nous maintiendrons un dialogue régulier et constructif avec l’ASEP, comme avec l’ensemble des associations joinvillaises.

 Olivier Dosne  Bien entendu comme nous l’avons fait ces 12 dernières années. 

 Rémi Decout-Paolini  Le maintien ou plutôt le rétablissement d’un dialogue régulier, constructif et confiant avec l’ASEP est pour notre liste une évidence et une nécessité. Avec notre équipe, l’ASEP sera la bienvenue en mairie et elle sera étroitement associée à l’élaboration et à la réalisation de projets concernant les deux quartiers. Nous envisageons en particulier des réunions trimestrielles régulières, sans exclure toute autre réunion rendue nécessaire par l’actualité.

 


2. Vous engagez vous à mettre en place immédiatement une modification du PLU, intégrant les observations de l’ASEP émises lors de la révision de 2019, notamment pour interdire les maisons cubes de béton et les toits-terrasses, pour protéger les arbres remarquables du domaine public et des propriétés privées, pour interdire les divisions de terrains inférieurs à 600 m2 et à ne plus favoriser la création de parcelles inférieures à 250m2 ?

 Tony Renucci  Il n’est pas légalement possible d’interdire des divisions parcellaires, d’imposer une superficie minimale de parcelles constructibles et d’interdire des toits terrasses. Nous réviserons le PLU pour protéger les arbres et sites remarquables, diminuer la constructibilité et travaillerons avec le CAUE 94 afin d’établir un cahier de prescriptions architecturales précis et ambitieux, permettant le respect du style du quartier sur les constructions neuves.

 Olivier Dosne  Nous ne pouvons tenir cet engagement et aucun candidat ne le peut. Ceux qui vous promettent le contraire sont soit ignorants soit menteurs. Voici pourquoi :
- La compétence PLU été transférée à l’intercommunalité (EPT Paris Est Marne et Bois) par la loi Notre. Ainsi le Maire ou le Conseil municipal n’a plus le droit de lancer une modification ou une révision de son PLU.
- L’EPT ne peut plus engager une révision d’un PLU d’une seule commune. Il doit élaborer un Plan Local d’Urbanisme intercommunal. (... réponse limitée à 500 caractères / 5 lignes)

 Rémi Decout-Paolini  L’engagement a été pris par notre équipe, dès le lancement de notre campagne, de modifier le PLU en début de mandature pour lutter contre la densification immobilière et préserver le cadre de vie de la commune. Étant dans cette élection la seule liste réellement et sérieusement écologiste, nous partageons entièrement les préoccupations de l'ASEP ; nous protégerons donc les arbres remarquables et nous lutterons en particulier contre la division parcellaire et les « pavillons-cubes ».

 


3. Vous engagez vous à mettre en place une protection du canal de Polangis, en réglementant les architectures des constructions nouvelles, qui doivent rester en harmonie avec le bâti existant, comme pour tout ce quartier, et en interdisant sur les berges toute bétonisation ou installations autres que des pontons en bois, et en contrôlant le respect de la réglementation?

 Tony Renucci  Nous partageons votre souhait de faire respecter la règle du PLU sur l’aménagement des berges, qui précise que « ne sont admis que les pontons et terrasses en bois ». Le renforcement du PLU par le maintien d’une partie paysagère en front de quai peut être une piste à étudier. Nous sommes également favorables pour classer les abords du canal en zone N “zone à protéger en raison de la qualité de son site”.

 Olivier Dosne  Cette réglementation existe déjà au Plan Local d’Urbanisme. Nous la contrôlons et nous dressons des procès-verbaux d’infraction systématiquement. Nous les envoyons, comme la procédure le prévoit, au Procureur de la République. Ce dernier classe sans suite la très grande majorité des infractions au code de l’urbanisme rendant impossible la réparation de l’infraction. 

 Rémi Decout-Paolini  La protection du canal de Polangis est une nécessité, et l’ensemble des actions qui sont listées tant par la pétition du Collectif des riverains que par le questionnaire de l’ASEP seront mises en œuvre, dans le respect du droit des propriétaires et en liaison avec l’ASA. Nous protégerons les styles traditionnels d’habitation, nous classerons en espace boisé classé les berges du petit canal pour les protéger du béton et nous créerons une zone N incluant les parcelles contigües au canal.

 


4. Dans le cadre des réflexions sur l’Avenue Galliéni, vous engagez vous à préserver le cadre de vie des riverains situés à l’arrière des bâtiments de l’avenue, notamment en ne dépassant pas R+4 pour d’éventuels nouveaux immeubles, et en réglementant leur architecture ? Quelles idées avez-vous pour faciliter les déplacements des habitants de ce quartier pour se rendre en direction du RER, de Paris et du Bois de Vincennes (à pied, en vélo ou en voiture) ?

 Tony Renucci  Nous sommes dans l’attente des conclusions de l’étude sur Gallieni. Nous prônons des conditions obligatoires sur les nouvelles constructions (limitation des hauteurs à R+4 sur Gallieni, réduction de l’emprise au sol, augmentation de l’espacement entre les constructions). Nous souhaitons favoriser les déplacements actifs (marche, vélo) et les lieux permettant une halte (banc, placette…), ainsi qu’un service de minibus pour les PMR. 

 Olivier Dosne  Nous nous engageons bien entendu à préserver le cadre de vie des Joinvillais. C’est le sens même de notre engagement. Nous l’avons déjà dit : nous sommes favorables à une hauteur de 4 étages pour les éventuelles futures constructions. Pour autant, il serait cependant peu respectueux de faire des promesses sur le devenir Galliéni. Pourquoi ? Parce que, à notre demande, l’intercommunalité qui a la compétence aménagement a lancé une grande concertation avec les Joinvillais. Cette concertation n’est pas terminée Notre engagement est de respecter cette concertation et les propositions qui feront consensus (... réponse limitée à 500 caractères / 5 lignes)

 Rémi Decout-Paolini  La complète remise à plat du projet du maire sortant de transformation de l’avenue Gallieni, axe structurant mais aussi lieu de chalandise, de promenade et d’animation, est une des priorités de notre programme, avec limitation notamment de la hauteur des constructions à R+4 ; nous nous y sommes déjà engagés publiquement, provoquant l’alignement des autres listes sur nos positions. Pour les déplacements, un plan d’aménagement, de sécurisation et de fluidité des piétons et des cyclistes est prévu.

 


5. Vous engagez-vous à tout mettre en œuvre pour que notre commune puisse enfin bénéficier de murs anti-bruit efficaces le long des autoroutes A4/A86, le nouveau revêtement ayant montré ses limites, et de quelle façon ?

 Tony Renucci  Nous poursuivrons les actions engagées en demandant à l’État d’intervenir sur l’ensemble des nuisances de la portion A4/A86 avec le réaménagement de nouveaux écrans acoustiques robustes et infrangibles. Nous pensons également à des solutions innovantes complémentaires, expérimentées en Autriche par exemple, de régulation dynamique de la vitesse en fonction des nuisances sonores.

 Olivier Dosne  Nous avons plus obtenu sur le dossier A4/A86 en 10 ans que ces 30 dernières années :
- Rachat des délaissés d’autoroute par la Ville afin d’éviter toute densification urbaine, mise en place de zones de chantiers pour la ligne du Grand Paris, etc.
- Pose d’un revêtement acoustique dont l’efficacité a été démontrée par les études de BruitParif, organisme indépendant.
- Réparation des écrans en place.
L’assainissement de l’autoroute reste un dossier sur lequel nous agissons activement. Nous avons encore (... réponse limitée à 500 caractères / 5 lignes)

 Rémi Decout-Paolini  Le nouvel enrobé appliqué sur l’A4/A86 montre ses limites et connaît un phénomène d’usure. Or si des protections phoniques ont été mises en place dans des communes voisines, Joinville n’a toujours pas obtenu gain de cause ! Nous redemanderons à l’État de respecter ses engagements pris... en 2007, après un combat dans lequel l’ASEP a été très active, afin d'obtenir la meilleure protection phonique techniquement possible. Nous rappellerons aussi l'Etat à son obligation d’entretien.

 


6. Comment pensez-vous intervenir afin que les riverains du talus du RER A soient protégés par un mur anti-bruit ?

 Tony Renucci  Nous travaillerons avec la RATP afin de réaliser une étude acoustique sérieuse et approfondie sur le sujet. L’objectif est de pouvoir disposer de pistes de solutions visant à réduire la pollution sonore à l’encontre des riverains du talus du RER A.

 Olivier Dosne  Notre expérience des relations institutionnelles nous amène à répondre de façon politique à ce type de question. Il ne suffit pas d’écrire à la RATP pour obtenir la pose de ce type d’infrastructures très couteuses. Nous pouvons affirmer sans nous tromper que la pose de murs anti-bruit sur ce talus n’est pas la priorité de la RATP. Il faut donc sans relâche et avec opiniâtreté mobiliser les parlementaires et les acteurs institutionnels, faire valoir nos demandes dans le cadre de documents de planification, etc. En d’autres termes : prendre notre bâton de pèlerin. 

 Rémi Decout-Paolini  Nous nous engageons à étudier la question avec la RATP, en visant aussi la préservation de la naturalité du talus. Il s’agit d’une des importantes « trames vertes » à préserver.

 


7. Passeurs de rives : vous engagez vous à renouveler cette expérience concluante l’an dernier et à élargir la période de mise en service, en coordination avec Nogent et le T10 ?

 Tony Renucci  Nous sommes favorables au renouvellement de l’expérience du passeur de rives et l’extension de sa période de mise en service. Nous serons également force de proposition auprès du T10 et de Nogent pour proposer un système sans moteur et écologique, comme les traversiers de Bâle en Suisse si le courant le permet.

 Olivier Dosne  C’est grâce à la mobilisation de Virginie Tollard, conseillère territoriale et membre de Joinville avec vous, et l’ASEP que cette liaison a été mise en place. Nous nous engageons bien entendu à la maintenir et à l’élargir. 

 Rémi Decout-Paolini  Ce dispositif, initié par notre colistier Pierre Marchadier, ancien adjoint à la culture, est en totale cohérence avec notre projet de redynamisation des guinguettes ; le passeur de rives sera donc maintenu et pérennisé, en liaison avec Nogent-sur-Marne. La liaison sera sécurisée par la création à Joinville d’un nouveau ponton et un ascenseur pourrait être installé par Ile-de-France Mobilités pour gagner le RER de Nogent.

 


8. Que pensez-vous de la création du vignoble sur les « délaissés de l’autoroute » à Polangis ? Avez-vous des idées pour rendre ce lieu plus utile aux Joinvillais, par exemple pour une utilisation plus ludique ?

 Tony Renucci  L’initiative du vignoble a coûté de l’argent à notre Ville et n’a pas été à la hauteur des attentes. Nous souhaitons que les délaissés de l’autoroute deviennent un lieu de verdure, de promenade, de détente et d’agriculture urbaine (espèces et plantations compatibles avec l’environnement agressif lié à l’autoroute, comme des arbres fruitiers). Le projet associera les Joinvillais et les associations, dont la vôtre.

 Olivier Dosne  L’ASEP a notre grande surprise a très rapidement été opposé à ce projet qui pourtant est un écho très fort à l’histoire de Joinville. Nous sommes favorables à tout ce qui peut susciter l’adhésion au patrimoine mémoriel et immémorial de Joinville. Nous pensons que ces vignes sont importantes à ce titre. Les vignes n’occupent qu’une partie congrue des terrains disponibles. Nous proposons donc par ailleurs de planter une véritable forêt urbaine. Nous construirons aussi un nouvel équipement sportif. 

 Rémi Decout-Paolini  Ce vignoble est une aberration en raison de la nature alluvionnaire du terrain et de sa proximité avec les retombées polluantes de l’autoroute. Y cultiver des fruits et légumes serait irresponsable pour des raisons sanitaires. Nous ne sommes pas partisans, sauf exception, d’y installer des équipements d’activités de plein air à cause de la pollution. Notre projet est d’y planter des arbres à haute tige, une « forêt » urbaine qui atténuerait la balafre faite à notre ville il y a plus de 40 ans.

 


9. Quai de Polangis : comment envisagez-vous de terminer son aménagement, notamment sur le plan sécuritaire, avec cette cohabitation voitures/vélos/promeneurs, actuellement très difficile ?

 Tony Renucci  Nous ferons un bilan des points positifs et des points d’amélioration avec les riverains, afin de voir dans quelle mesure, techniquement et financièrement, nous pourrons intégrer leurs propositions dans des futurs aménagements à réaliser.

 Olivier Dosne  Cette question est très étonnante de la part de l’ASEP. Nous avions proposé un grand plan d’aménagement du quai de Polangis visant justement à répondre à cette question. Cet aménagement ne pouvait malheureusement conserver les arbres existants, car les études ont montré que leurs racines traçantes en surface détruisent les revêtements. L’ASEP a réalisé un questionnaire en 2012 auprès de ces adhérents qui demandaient un aménagement beaucoup plus limité. Nous avons donc réhabilité le chemin piétonnier, l’éclairage public et les trottoirs. Nous pouvons tout à fait expérimenter une fermeture le week-end du quai (... réponse limitée à 500 caractères / 5 lignes)

 Rémi Decout-Paolini  Nous reprendrons cet aménagement en concertation avec les riverains et l’ASEP. Dans le cadre de cette concertation, nous proposerons l’étude d’un plan d’aménagement du quai de Polangis incluant un parcours sport-santé adapté aux différents âges, la pose de ralentisseurs, l’installation d’une piste cyclable sur site propre et une revitalisation du patrimoine arboré du Quai Polangis, ainsi que des berges en concertation avec Voies navigables de France (VNF).

 


10. Que pensez-vous de la réduction de 50 à 30 places sur le parking du Quai de la Marne, en création sur les « délaissés de l’autoroute », alors que ce quartier manque de places de stationnement et que la promesse de doublement de ces places ne sera pas tenue ?

 Tony Renucci  Nous prônons un dispositif réduit par rapport au projet initialement prévu. N’ayant pas connaissance du projet amendé de la Mairie, nous chercherons à trouver une solution consensuelle entre la Mairie, les riverains et les associations de protection des friches de délaissés de l’autoroute.

 Olivier Dosne  Nous l’avons décidé. Nous assumons donc totalement d’avoir réduit la capacité de stationnement de ce parking. Nous avions d’ailleurs consulté le président de l’ASEP au préalable qui nous avait donné son accord. Pourquoi avons-nous fait cet ajustement : 
- Parce que la capacité de stationnement du quai s’est beaucoup améliorée depuis son aménagement et que nous pensons que 30 places seront suffisantes. Les études réalisées en décembre démontrent que le taux d’occupation des places (nombre de véhicules présents (... réponse limitée à 500 caractères / 5 lignes)

 Rémi Decout-Paolini  Le devenir de ce terrain est devenu un sujet de crispation entre des acteurs défendant des visions différentes. Un nouvel examen du sujet du stationnement sur le quai de la Marne apparaît donc la meilleure solution pour trouver un compromis. Une démarche de participation citoyenne, examinant les besoins des résidents comme la re-naturation véritable (avec plantations d'arbres) de la partie du terrain non utilisée comme parking, sera mise en œuvre à cet effet avant toute décision définitive.

 


11. Stationnement sur nos deux quartiers : quelles solutions envisagez-vous ?

 Tony Renucci  Nous mettrons en place le stationnement résidentiel sur l’ensemble de la ville à tarif préférentiel pour rendre les places de stationnement aux Joinvillais. Nous consulterons les habitants, les professionnels et les personnels de la Mairie pour la définition du cahier des charges via une conférence de consensus. L’objectif étant d’avoir une solution juste, équitable et efficiente pour les Joinvillais.

 Olivier Dosne  La question est très ouverte. Nous imaginons que derrière cette interrogation se pose la question du stationnement résidentiel. Lorsque nous avons mené les réunions publiques dans chacun des quartiers sur la mise en place du stationnement payant/résidentiel, nous avons perçu une certaine hostilité au stationnement résidentiel dans certains quartiers. Nous étions pourtant convaincus de son utilité. Nous nous engageons à revenir sur cette proposition en l’adaptant aux quartiers qui sont réellement sous pression d’un stationnement extérieur. Cela se fera dans la concertation. 

 Rémi Decout-Paolini  Nous voulons faciliter la vie quotidienne dans ces deux quartiers comme dans l'ensemble de la ville. La municipalité sortante a raté sa réforme du stationnement, faute de traiter l’ensemble des effets de reports de stationnement sur les rues adjacentes aux grands axes de stationnement payant. La mise en place, secteur par secteur, après concertation avec les habitants, d’une zone bleue avec stationnement gratuit pour les résidents nous paraît constituer la meilleure solution.

 


12. Préemption de L’Horloge sur le Quai de la Marne : vous engagez vous à mettre rapidement en œuvre le programme prévu dans l’étude demandée par la Ville, à l’initiative de l’association « Carré des Canotiers », avec le soutien de l’ASEP, sur cette propriété et les propriétés adjacentes ?

 Tony Renucci  Nous serons heureux de découvrir votre projet, dont nous ne connaissons ni le périmètre ni le programme. Nous sommes profondément attachés à ces lieux chargés de l’histoire joinvillaise et nous pensons que le patrimoine doit être vivant. Nous aimerions donc aussi vous proposer de développer un site dédié à un observatoire des bords de marne à cet endroit.

 Olivier Dosne  Le projet de l’association du Carré des Canotiers vise à créer un espace muséal et un centre d’études autour du canotage. La Ville a effectivement subventionné l’association pour qu’elle puisse mener une étude touristique d’opportunité. Ses conclusions sont à la fois encourageantes et mitigées. Si nous avons préempté l’Horloge, c’est bien entendu pour sauver un patrimoine historique Joinvillais et soutenir le projet de l’association. Cependant il faut être responsable : rien ne sera rapide. La ville ne peut pas porter seule un tel projet très couteux à financer tant sur la partie investissement (travaux, foncier) que sur le fonctionnement  (... réponse limitée à 500 caractères / 5 lignes)

 Rémi Decout-Paolini  La préemption du bâtiment de L’Horloge, qui a été demandée par nos élus, doit permettre de réaliser enfin le très beau projet du Carré des Canotiers, à co-construire étroitement avec l’ASEP. L’association peut compter en ce domaine sur la passion de notre équipe pour la valorisation patrimoniale et historique de notre ville ; cette valorisation doit susciter un cercle vertueux d’activités touristiques, culturelles et économiques autour du canotage et des bords de Marne.

 


13. Passerelle « La Belle Equipe » : vous engagez vous à la rénover dès cette année afin d’éviter de nouvelles chutes de personnes ?

 Tony Renucci  Nous ferons le maximum pour que ce dossier puisse aboutir avant l’été 2021, dans la mesure des possibilités financières de la commune. Nos analyses du budget municipal sont beaucoup moins optimistes sur les marges de manoeuvre que celles présentées par le maire sortant, surtout avec les récentes préemptions réalisées.

 Olivier Dosne  Les études sont d’ores et déjà engagées. 

 Rémi Decout-Paolini  Oui et très rapidement ! Il en va d’ailleurs de la responsabilité de la collectivité.

 


14. Vous engagez vous à régler la question du « Petit Robinson », à l’abandon depuis plus de 10 ans, notamment pour un projet à définir en liaison avec l’ASEP ? Etes-vous prêt à préempter ?

 Tony Renucci  Nous sommes disposés à préempter ce terrain afin de faire renaître l’esprit Guinguette, sous une forme solidaire, et faire profiter au plus grand nombre de la douceur des bords de Marne. L’ASEP sera associée à la définition de ce projet, ainsi que l’ensemble des Joinvillais qui souhaiteront y être associés.

 Olivier Dosne  Pour préempter encore faudrait-il que le bâtiment soit en vente ce qui n’est pas le cas. Nous nous engageons à entamer une procédure d’abandon manifeste qui permettra in fine à la Ville de devenir propriétaire. 

 Rémi Decout-Paolini  La Ville doit reprendre la main sur ce lieu historique, qui fait peine à voir désormais, et l’ensemble des outils juridiques à mettre en œuvre (arrêté de péril, expropriation, préemption…) seront expertisés, si les Joinvillais nous accordent leur confiance, dès l’installation de la nouvelle équipe. Un projet de pôle culturel pourrait voir le jour dans ce secteur, pour développer une authentique « culture des bords de Marne », nourrie par la richesse de l’environnement et le patrimoine.

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